chaleur brûlante, espieglerie insouciante ...

Les petits sabots noirs de la jument alezanne mrtelait le sol avec cadencE.
La poussière voletait en un tourbillon dorE,
Tandis que chacune de ses foulées aerienne la projetait un peu plus loin dans l'ifinI,
L'infini qu'est la terrE.
Sa queue doucement panachée narsuait avidement le venT,
Le défiant d'aller ne serait ce qu'un poil plus vite qu'elle en cet instanT.
Se laissant emporter par l'ivresse de la vitessE,
Laissant ses fins membres la porter sans plus de scrupuleS,
Elle avait le port de tête fier et hauT,
Observant le moindre recoiN.
Dans cette athmosphère lourdE,
Le vent lui même n'osait s'aventureR.
L'air emprisoné dans cet fissurE,
Etait humide et lourD,
Rendant la respiration de la jument laborieuse et difficilE.
Ses flancs se soulevaient par saccadeS,
Tandis qu'un filet d'écume moussait entre ses cuisse muslée et au coin de ses fines lèvreS ...

l'étalon était depuis pas mal de temps et il aait vu la jument courir depuis le début.
Quel bon remède pour ne plus avoir froid.
Et oui, il faut dire qu'il faisait frois sur les Terres Brûlantes.
Pourquoi?
Un nouvel énigme à découvrir.
Il devait consulter Elendil.

Puis doucement il repporta son attention sur la jument alezanne.
Elle semblait fatiguée, ou en tout cas, elle avait du mal à repirer.

!L'étalon se leva et hénnit à son attention

L'air frais entrais tel un éclair en la jumenT,
Et en ressortait brûlanT.
Ses sabots martelait le sol avec hargnE,
Toujours plus vitE ...
Ses flanc se soulevait précipitemenT,
Et se respiration se faisait saccadé et discontinuE,
Mais toujours cette evie d'aller toujours plus loiN,
De ne pas s'arrêter lA ...

Au son d'un soudain hénnissemenT,
Arabesque, surprisE,
Freina en quelques instantS,
Créant un nuage de poussière autour d'ellE.
La respiration sifflantE,
Elle tourna la tête vers le cheval qui l'avait dérangée dans sa coursE.
L'air qui stagnait au fond de la fissure rentrait difficilement dans ses naseaux dilatéeS,
Elle respirait avec forcE,
Le regard fixé sur le cheval baI,
Qui l'observaiT.

Il t'a déranger?
Il s'en escuse.
Seulement il croyait que tu manquait d'air vut le souffle que tu avais.

No' coucha une oreille par méfiance et s'avança vers la jument.
Il vit au sol les traces laissées par celle-ci.

La fumée qui s'était formée autour de la jument parti aussitôt qu'elle n'était venu.
No' put appercevoir un peu mieux la jument.

D'un simple geste de la tête, No', la salua.
Et déclara doucement

- No Trash -

Il t'a déranger?
Il s'en escuse.
Seulement il croyait que tu manquait d'air vut le souffle que tu avais.

No' coucha une oreille par méfiance et s'avança vers la jument.
Il vit au sol les traces laissées par celle-ci.

La fumée qui s'était formée autour de la jument parti aussitôt qu'elle n'était venu.
No' put appercevoir un peu mieux la jument.

D'un simple geste de la tête, No', la salua.
Et déclara doucement

- No Trash -

Bien trop prétencieuse pour le salueR,
Elle le fixa puis soupirA,
Avant de palrer d'un voix fermE,
Cependant tintée d'une pointe d'arrogancE :

" Arabesque "

Par définitioN,
Elle n'aimait les étalonS.
Tous macho et sanguinairE.
Planquant elle aussi une des fines oreilles dans sa crinièrE,
Elle observa le stall d'un oeil plus interrogatif qu'agressiF,
Même si c'est le deuxième solution qu'elle préféraiT.
Sa respiration toujours sifflantE,
Se calmait doucemenT,
Tandis que se que rouge de particule de sol rocheuX,
Fouettait nerveusmeent ses flancS.

Mmmm...
Tu ne devrai pas te fiait aux apparences jument!
No' n'est pas celui que tu crois.
En tout cas pour lui, il ne ressemble pas à ce que tu e dis, mais après tout chacun est libre de penser ce qu'il veut.

No' fit un signe de tête pour approuver.

Il leva son oreilles n'ayant plus rien a craindre.
Il regarda les yeux de la jument.
Seulement ses yeux, le reste lui importait peu

Défiant le regard du cheval par le sieN,
Qui pétillant et acidE,
Ne laissait pas entrevoir grand chosE,
Elle gronda sourdement par les naseauX.
Sa queue fouettait l'air dans un sifflement sonorE,
Tandis que son regard s'ateraiT,
Laissant entrevoir le vagues de son passé tumultueuX.
Puis s'agitanT,
Elle n'aimait pas rester sur placE,
Ses yeux se firent de braises tandis qu'elle levait la tête pour regarder avec impetuosité le cieL,
Immense étendue paisible qui n'avait pas l'air de souffrir du froiD ...
La jument frissonA,
Tandis qu'une brise fraiche lui passa sur le corpS,
La glaçant petit à petiT.

L'étalon leva un sourcil.
Si lui était macho, alors elle, elle était plus qu'arrongante.
Mais No' ne préfère pas juger par les apprances.
Après tout, peut-être qu'elle voulait faire justement apparaître ça.

L'étalon ne bougea pas d'un poil.

Puis il perçut son regard ou quelques signe de son pasé se vit voir.
No' resta sans bouger se réservant toutes paroles quand il connaîtra un peu mieux la jument.
Enfin si celle-ci le veuille bien.

La petite brise vint également refroidir le corps de l'étalon.

- Cela fait longtemps que vous galopez? -

Elle se figea soudaiN,
Laissant les milles et une épine de froid lui rentrer dedanS,
Lui perçant la chaiR,
Tandis qu'elle répondait d'une voix ferme et assuréE :

" oui ... ... Enfin, je crois ... "

Son ton droit avec finit dans un souffle de venT,
Tout aussi éphemerE.
Arabesque ne se souvenait plus de quand elle avait commencer à galopeR,
Mais par les fourmis qui commençait a lui courire dans les jambeS,
Elle en déduisit que cala faisait longtempS ...
Mamz'elle se mit en marchE,
Ne pouvnt plus contenir la vague d'épine qui s'enfonçaient dans sa chaiR ...

No' regard la jument d'un oeil neutre.
Il voyait qu'elle souffrait les nombreuses épines qui lui rentrait.
Mais si No' venait à l'aider, celle-cvi ne se laisserai peut-être pas approchée.

Alors No' d'une voix calme, déclara

- Vous devriez aller à l'Oasis pour que vous puissiez retirer ses épines... -

No' resta silencieux un moment avant d'ajouter

- Je peux voys aider à y aller si vous le voulez. -

» vagues enivrantes, lune insouciante
» Juste un peu de chaleur...
» De retour de la chaleur