- Galope en compagnie du vent -

Le vent qui l'entourait lui fit parvenir une odeur a ses narines.
Il s'arrêta et senti l'odeur.
Une jument...
L'étalon la chercha mais en vint.
e n'était pas facile de trouver un cheval dans cette immense forêt

Tao d'Edragal marchait.
Il était encore très tot.
C'était l'aube.
Il adorait cette heure.
Pas un bruit, pas un souffle.
Le calme parfait.
Il n'y avait personne.
C'était tant mieux.
Il marchait calmement parmis le silence du petit matin.
Il huma le vent et senti deux odeur.
Il fit la moue.
Un étalon et une jument.
Ces terres étaient déjà fréquetées...
Mais, cela n'entama pas sa bonne humeur.
Il continua donc à marcher parmis ce silence devenu presque inquiétant...

Silence?
Par rapport la forêt était rempli de bruit.
Des oiseaux qui chantent, le vent qui se frottent aux feuilles des arbes...
No' écoutait attentivement chaque bruit de vent.
Il leva al tête et senti l'odeur d'un étalon qui avait déjà senti.
Il fut a la fois content et mécontent de voir un étalon de ses terres.
Mécontent car il l'avait ignoré et ça, No' ne l'avait pas oublié.

Les heures tournaient et le bruit se faisait entendre.
La forêt n'était plus calme, à présent.
Il se mit alors au trot et slaloma entre les nombreux arbres.
Il regardait autour de lui, d'un oeil critique, mais pas mauvais.
Sa spécialité, à lui, c'était le désert et la savane.

L'étalon bai entendit alors des bruits de sabots.
Il chercha sa provenance mais ne distingua pas d'autre odeur que celle de la jument et l'étalon.
Il s'avança doucement et décourvirt alors la jument.
C'était surement alors l'étalon qui trotter.
Tout comme lui, No' préférer sentir le sable rentrer dans ses yeux.
Il aimait sentir le sable de son petit désert chéri ou ses sabots rentre et avance sans difficulté que peuvent rencontrer les autres chevaux.

L'étalon regarda s'éloigner la jument.
Il n'allait rien faire pour la retenir.

Il la regarda s'en aller dans un silence

Tao s'arrêta doucement.
Sans bruit.
Le vent le couvrait.
Pour une fois, il était sans Cheatah.
On ne pouvais ni le voir, ni le sentir.
Il s'était caché derrière un bosquet compact d'arbres.

L'étalon perdit la trace de l'étalon.
Il regarda dans tous les sens mais rien.
Il haussa les épaules et descida de se coucher pensant qu'il était seul

Tao sorti.
Il se coucha à côté de l'étalon bai, mais à distance très respectable.
Il posa sa tête sur ses antérieurs et ferma les yeux.
Il ne dormais pas.
Loin de ça.

L'étalon bai regarda l'étalon blanc.
Il lui dit bonjours d'un signe de tête avant de lui aussi poser ses membres sur ses antérieurs.
Il sentait le doux vent qui venait faire voler sa crinière noir.
Bien qu'il aimait la chaleur plus que tout, ce petit vent il l'appréciait

Tao avait répondu à son petit signe de tête.
Il senti un petit vent de fraîcheur.
Cela lui fesait du bien.
Quand il releva à tête il faisait nuit.
Il regarda alors les étoiles.
Cette position alors inconfortable, il se mit sur le dos.

Puis du jour on passa à la nuit.
L'étalon relva la tête et regarda les étoiles au loin.
Il savait que sa mère faisait partie de l'une d'entre elle.

Puis il soupira.

Tao observait les étoiles.
Il murmura sans même s'en rendre compte.
"Chaque étoile est un cheval.
Chaque étoile filante est un cheval qui change.
Chaque étoile qui disparaît est un cheval qui meurt."
Tout ce qu'il lui restait de sa mère était ces phrases.
Il soupira à son tour.

L'étalon entendit les paroles de l'étalon blanc.
Il esperait que c'était vrai.
Un soupir s'échappa de lui.

(Que de soupirs!^^)
Tao regardait les étoiles.
Il devait surement être là, dans l'immensité du ciel.
Il ferma les yeux et les rouvrit.
Qu'était devenu sa mère?
Nul ne le savait.
Il aimerait la retrouver un jour....
Mais il savait que c'était simplement et purement impossible.

(^^)

L'étalon releva la têt et la tourna vers lui, l'étalon blanc.

- Ce que vous avez dit est vrai? -

Il esperait que oui.
Que ce ne soit pas juste une belle phrase.

"C'est ce que ma mère m'a toujours dit...
Avant que son étoile ne disparaisse du ciel...
Regardez.
Là, il y a deux chevaux très éloingnés de tous les autres, là, à gauche.
C'est peut-être nous deux..."
Il souria dans l'obscurité.

L'étalon resta étonner.
Ceu que venait de dire l'étalon était très beau.
Sa mère devait être quelqu'un de vraiment très spécial

Tao souria en pensant à sa mère.
Spéciale?
Oh, ça oui!
Elle faisait tpujours le contraire des autres.
C'était une petite jument pie, la queue et la crinière ébourrifée.
Elle était très poétique.
Toujours dans les nuages...
Ce qui lui a couté la vie.
Tao ferma les yeux et les rouvris.
Des phrases poétiques, il en avait pleins la tête.
Il recommença à parler doucement.
"Pour l'instant, la jument de ta vie, c'est moi.
Pour l'instant, l'étalon de ta vie, c'est ton père.
Le jour viendra où tu rencontreras LA jument de ta vie et où l'étalon de ta vie sera ton fils...."

L'étalon bai tandis les oreilles vers lui.
Il ne se lassa de l'écouter.
C'était la première fois qu'il voyait un étalon s'interressait à ces choses là.
Et pourtant...

L'étalon reconnut une odeur.
Fatale Foudre.
Bien que lui et elle ne s'était parler que très rarement, l'étalon avait imprimé son odeur.
Cependant il hennit juste trop "occupé" par les paroles de l'étalon